Confusius
il fut des temps lointains où le vromissement des moteurs ne se fesaient pas entendre, seul le son des sabots de chevaux montaient par des samouraïs bien assis et arnachés d'armures faites en écailles de dragons étaient perseptibles quelques charettes à bras tirées par quelques valeureux paysans l'échine courbée par le labeur et les coups de batons....
un matin dans la lueur de l'aube une silouhette s'avançait péniblement sur le sommet en direction du village.
Les jeunes du villages aprés une nuit débordante de saké étaient intringué par cette silouhette qui déhenbulait en guenilles, certains restaient dubitatifs voyant ce viel homme clopinant s'avançant vers le vilage.
Les plus réceptifs ressentaient une force d'une puissance incroyable qui émanait de ce petit être qui semblait si fragile, les plus hardis s'approchèrent et commencèrent à tourner autour de ce viel homme en le narguant.
L'homme ne s'arretait pas ne prêtait pas attention à ces jeunes arogants,il continuait son chemin jusqu'à ce que trois hommes se mettent à lui barrer le chemin;
Le viel homme s'arreta il leva la tête fit découvrir ces yeux noirs comme le charbon en fixant les trois congénères une force invisible émanée de ce regard deux de jeunes guerriers se retirèrent ayant ressenti cette force, le troisième continua à faire face le sabre dans le foureau, puis il se mit à charger le viel homme qui tel un éclair esquiva la simulation d'attaque puis dans un éclat de rire se retourna et dis tu serais mort viel homme si mon sabre n'était pas resté dans son foureau, et le viel homme lui rétorqua que bien mal lui en aurait pris de le faire car il serait déjà dans le domaine des ombres...
Un vieux samouraï qui avait vu la scene confirma et conspua le jeune guerrier en affirmant que le viel homme avait raison, se qui fit que ne provoquer une colére encore plus grande chez ce guerrier qui cette fois retira le foureau en interpelant le viel homme " tu va mourir viel homme ma feinte est imparable" et la en deux bonds il repassait à l'attaque tous les témoins n'ont vu qu'un éclair blanc sortir de ce qui ressemblait à un baton dont se servait le viel homme, et là un grand silence s'installa d'une seul coup le guerrier restait prostrer sans se retourner le sabre pointé vers le bas un filet de sang se perlait maintenant le long du poignet suivant les doigts et suintant le long du sabre qui tombait sur le sol ainsi que le guerrier qui s'affaissait sur ses genoux la tête penchée en avant à moitié décapitée.....
le viel homme aprés avoir soigneusement essuyé son sabre avec sa manche le faisait glisser le long de ses doigts dans son etui en bois qui lui servait de canne...
le vieux samouraï l'avait compris il s'agissait d'un moine du prestigieux monastère d'ELLSING probablement même un maître...